« Pour image de ton enfantement,
nous avons le buisson ardent
qui brûlait sans être consumé ;
en nos âmes,
nous te prions
d’éteindre la fournaise des tentations,
pour qu’alors,
ô Mère de Dieu,
sans cesse nous te magnifiions ! »
Très sainte Mère de Dieu, sauve-nous !
A l’âge de trois ans
tu fréquentais le temple de ton Seigneur.
Adolescente,
si jeune encore,
tu reçus dans ta virginité
la semence divine
du Fils de Dieu et Fils de l’Homme.
Tu connus par le vieillard Siméon
qu’un glaive traverserait ton cœur
de vierge mère et,
avec audace et avec foi,
tu disais au Seigneur :
Qu’il m’advienne selon ta parole !
Très sainte Mère de Dieu, sauve-nous !