A l'usage des servantes
- trois nappes blanches superposées l'une suffisamment longue pour retomber de chaque côté de l'autel, les deux autres plus petites, celle du dessus doit toujours être unie, sans dentelle ni broderie, afin de ne pas risquer de laisser une parcelle du Divin Corps du Christ
- la Croix du Christ, devant laquelle brûle, si possible, une veilleuse centrale toujours allumée,
- six chandeliers, trois de part et d ' autre de la veilleuse centrale. On les allume pour les liturgies et aux vêpres, au moment de l'hymne «Lumière joyeuse...»,
- sept veilleuses, au dessus de l'autel, allumées aux vêpres, le dimanche et aux fêtes,
- l'antimension renfermant les reliques sur lesquelles sont célébrés les Divins Mystères. En dehors de la célébration il est replié dans une poche, aux couleurs liturgiques, appelée «bourse»,
- l'Évangéliaire,
- une croix de bénédiction,
- une lance, ou couteau, pour découper l'Agneau. Cette lance reste sur l'autel et ne sert à découper que l'Agneau consacré.
- des flacons contenant le Saint-Chrême, l'huile des malades et celle des catéchumènes.