J'ai vu le même malade spirituel qui tantôt, pour se guérir des passions qui corrompaient son cœur, avalait comme un breuvage salutaire toute l'amertume de l'obéissance, et en devenait vigoureux, ardent, laborieux et vigilant, et tantôt, pour rendre la vue à l'œil de son âme, se tenait dans une immobilité et un silence parfaits, ne regardant personne et ne parlant à personne. Que celui qui a des oreilles pour entendre, comprenne ce que je veux dire ici !
saint Jean Climaque : L'Échelle sainte « Du Discernement dans les pensées, les vices et les vertus. »
25 octobre 2011
2
25
/10
/octobre
/2011
04:09
Par ptit moine
Published by Monastère Orthodoxe de l'Annonciation
-
dans
Enseignement spirituel